Maison Olympia

Aménagement – Rénovation – Décoration d’intérieurs

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  • Aménagement d’open space et de loft : les astuces à connaître

    Aménagement d’open space et de loft : les astuces à connaître

    L’open space séduit parce qu’il ouvre les perspectives, fait circuler la lumière et invite à la convivialité. Mais un bel espace ouvert n’est jamais un grand tout indifférencié : c’est une composition précise, où chaque geste de design organise la vie quotidienne sans rompre la continuité visuelle. Chez Maison Olympia, nous travaillons ces volumes comme une partition : lisibilité des zones, cohérence des matières, douceur des circulations. Résultat : un intérieur qui respire, lumineux, fonctionnel, avec ce supplément d’âme discret qui signe les lieux bien pensés.

    Concevoir avant de meubler


    Tout commence par vos usages. Recevez-vous souvent ? La table s’agrandit et dialogue avec une cuisine fluide. Vous faites du télétravail? Un poste discret s’intègre sans dominer la pièce. Les besoins réels guident la cartographie des fonctions, puis la hiérarchie des priorités : où se posent les regards, où passe-t-on le plus, où a-t-on besoin de calme.
    Cette analyse précise évite les chevauchements et prépare un espace facile à vivre.

    Open space moderne à Aix : îlot central et bibliothèque ajourée

    Open space : organiser des circulations fluides

    Cuisine ouverte : palette neutre, bois et métal noir

    Dans un open space, la liberté s’exprime par des axes clairs. On préserve des « vides » — bandes de passage de 90 à 110 cm — qui permettent de glisser d’une zone à l’autre sans obstacle. Les volumes hauts se placent aux périphéries, les pièces plus aériennes au centre. Les lignes de fuite (baies, verrière, perspective sur un tableau) deviennent des repères qui structurent le regard et allongent visuellement la pièce.

    Délimiter un open space sans cloisons : verrières, tapis, meubles bas

    Définir les zones sans ériger de murs, c’est tout l’art de l’open space.

    Tapis et plafonds : un grand tapis ancre le salon, un second souligne l’espace repas. Un léger jeu de faux-plafond, un caisson lumineux ou une retombée travaillée dessinent subtilement un périmètre, tout en améliorant l’acoustique.

    Bibliothèques et meubles bas : une bibliothèque ajourée, une banquette-rangements ou un îlot dessinent des seuils doux. On garde la transparence, on gagne en fonctionnalité.

    Verrières légères et paravents : une verrière à petits cadres, un panneau textile ou un paravent plissé offrent une séparation réversible, utile pour tempérer bruits et odeurs sans priver la lumière.

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    Meubles pour open space : multifonction et proportions justes

    Chaque pièce doit remplir une fonction et alléger la lecture d’ensemble. Nous privilégions des silhouettes élancées (piétements fins, assises aériennes), des meubles multifonctions (îlot avec rangements, table extensible, canapé avec coffre) et des proportions mesurées : un canapé généreux mais pas envahissant, une table à l’échelle de la circulation, des assises d’appoint empilables. La cohérence de style — lignes, matières, finitions — relie cuisine, repas et salon comme un seul récit.

    Coin salon d’un open space : éclairage en strates et rideaux pleine hauteur

    Couleurs et matériaux d’un open space : palette neutre et accents

    La palette sert de fil conducteur.

    • Base neutre : des tons clairs et intemporels (ivoire, sable, gris tendre) amplifient la lumière et calment le champ visuel. Ils constituent la toile sur laquelle se posent les accents.
    • Accents maîtrisés : choisissez une à deux tonalités (vert sauge, prune fumée, bleu encre) reprises par touches — coussins, cadres, vaisselle, abat-jours — pour créer des rappels élégants sans saturer.
    • Mix de textures : le bois réchauffe, le métal affine, le verre allège, les tissus (lin lavé, velours côtelé, bouclette) apportent du relief. Répétez une même essence ou une même finition d’une zone à l’autre pour assurer la continuité.
    • Éclairage en strates : on combine un ambiant doux (plafonnier, gorges lumineuses), un fonctionnel précis (liseuses, suspensions sur l’îlot, rails orientables) et un accent ponctuel (appliques sur une niche, lampe sculpturale) pour sculpter le volume et rythmer les usages du matin au soir.

    Détails qui font la différence dans un open space

    Loft lumineux : zonage par tapis et suspensions au-dessus de la table

    Les espaces ouverts gagnent à être sereins. Des rangements fermés absorbent le quotidien et luttent contre le « bruit visuel ». De grands rideaux pleine hauteur adoucissent la réverbération et cadrent les fenêtres, des tapis ajoutent chaleur et confort. En cuisine, on privilégie des façades épurées, une hotte performante et des matériaux faciles d’entretien pour préserver l’élégance dans la durée.
    Un soubassement peint pour donner de la tenue, des prises subtilement cachées dans l’îlot, une corniche qui file d’une zone à l’autre, un banc sous la fenêtre qui devient coin lecture…

    Un soubassement peint pour donner de la tenue, des prises subtilement cachées dans l’îlot, une corniche qui file d’une zone à l’autre, un banc sous la fenêtre qui devient coin lecture… Ces gestes discrets racontent la sophistication sans ostentation. Enfin, une sélection d’œuvres et d’objets personnels — avec parcimonie — signe l’identité du lieu.

    Réussir un open space, c’est orchestrer une liberté maîtrisée : des zones lisibles, des circulations fluides, une palette sobre relevée de nuances justes, des matières qui dialoguent et une lumière stratifiée. À Aix-en-Provence et Marseille, Maison Olympia conçoit des espaces ouverts élégants, fonctionnels et profondément adaptés à votre manière de vivre.

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  • Quatre grandes plantes d’intérieur qui structurent l’espace

    Quatre grandes plantes d’intérieur qui structurent l’espace

    Certaines plantes ne décorent pas : elles instaurent un rythme, un axe, une énergie. Elles déplacent le regard, structurent les volumes, installent une atmosphère. Voici quatre présences végétales capables d’occuper un salon, un hall ou un open space avec autorité, tout en restant simples à vivre.

    Strelitzia nicolai

    La verticalité de ses larges feuilles crée une colonne végétale qui tend le volume sans l’alourdir. Dans un loft aux murs clairs, il dessine une silhouette nette sur un fond blanc cassé, surtout si le sol est en chêne blond ou en travertin. Dans un intérieur aux couleurs sombres — anthracite, brun cacao, bleu nuit — il gagne en intensité : ses lames vert profond accrochent la lumière et composent des ombres graphiques sur les murs. Placez-le où l’on circule : près d’une baie, au pied d’un escalier, sur un palier généreux. Il aime la clarté, la chaleur douce et un arrosage régulier sans excès. Dans les pièces minimalistes, il joue la pièce maîtresse ; dans les décors plus denses (boiseries, bibliothèques), il apporte une respiration verticale.

    Musa ‘Dwarf Cavendish’

    Le bananier nain enveloppe la pièce d’une douceur tropicale. Ses feuilles souples et brillantes donnent de l’ampleur à un coin souvent vide : l’angle entre deux canapés, un retour de verrière, une alcôve d’entrée. Il se marie à merveille avec les textures naturelles — lin sable, sisal, rotin, bois miel — comme avec des surfaces minérales très contemporaines : béton ciré, pierre claire, zelliges.
    Dans une palette claire, il crée une sensation de patio ; sur des murs foncés, il devient plus théâtral et dialogue avec le laiton brossé, le verre fumé, les marbres verts.
    Offrez-lui de la lumière, de la chaleur et une humidité douce ; l’arrosage suit le rythme des saisons. Son volume généreux réchauffe les intérieurs stricts et adoucit les lignes tendues d’un mobilier très géométrique.

    Beaucarnea recurvata

    Sculpture du désert, le pied d’éléphant joue sur le contraste entre une base renflée, presque minérale, et une chevelure de feuilles fines en cascade. Il excelle là où l’on veut une présence forte mais contenue : coin de galerie, perspective d’entrée, bout de couloir qui manque de caractère. Dans un appartement haussmannien, il répond au parquet en pointe de Hongrie et aux moulures par une note plus brute ; dans une maison contemporaine, il converse avec la pierre de Bourgogne, le travertin, les enduits texturés. Il apprécie la lumière et la parcimonie : peu d’eau, un substrat drainant, un pot stable et lourd. Visuellement, il apporte un contrepoint à des ensembles très lisses : faïences brillantes, inox, laque. On le laisse respirer autour de lui ; plus l’espace est libre, plus sa ligne se lit.

    Howea forsteriana (Kentia)

    Son élégance tranquille convient aux lieux de vie quotidienne : salon familial, coin lecture, bow-window, bureau ouvert sur la pièce. Les palmes arquées tracent des courbes douces qui apaisent les géométries du bâti. Dans un cadre classique (hautes fenêtres, rideaux lourds, tapis persan), il réunit les éléments par une verticalité souple ; dans un décor plus contemporain (canapé bas, tables en pierre, métal mat), il apporte une dimension végétale posée, presque musicale. Le Kentia tolère la mi‑ombre et demande seulement un arrosage mesuré et régulier. Il gagne à être installé dans un grand cache‑pot sobre : terre cuite sable, céramique crème, travertin. Son mouvement lent capte la lumière du matin et produit ces ombres feutrées qui donnent de la profondeur aux murs.

    Pensez-les comme des pièces d’ameublement. La proportion est clé : un sujet trop petit se perd, trop grand étouffe.
    On privilégie des emplacements généreux, à distance des circulations serrées, pour préserver le vide autour — ce vide fait partie de la composition. Les grands pots (Ø 35–50 cm) ancrent la plante ; un matériau noble — pierre, terre cuite, métal patiné — suffit à signer l’ensemble. Évitez les cache‑pots trop ornés : ce sont les volumes et la lumière qui doivent parler.
    Sur palette claire (murs ivoire, sols bois blond), ces plantes dessinent des ombres fines et une sensation d’air.
    Sur palette sombre (tabac, vert bouteille, bleu de Prusse), elles gagnent en densité et en mystère. Dans un intérieur très organisé, elles introduisent un léger aléa ; dans un espace complexe, elles rassemblent et ordonnent.

    Côté gestes : tourner les sujets tous les mois pour une croissance régulière, dépoussiérer les feuilles pour qu’elles captent la lumière, ajuster l’arrosage à la saison. Une soucoupe propre, un drainage soigné, et la plante tient son rôle sur la durée. Au fond, une plante bien placée vaut un meuble : elle donne l’échelle, elle installe une ambiance, elle raconte la maison.

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  • Oser les murs sombres : cinq couleurs de murs foncés pour un intérieur de caractère

    Oser les murs sombres : cinq couleurs de murs foncés pour un intérieur de caractère

    Un intérieur élégant n’est ni incolore ni timide. Il assume une personnalité, une profondeur, un rythme. Les neutres sont de formidables alliés, mais lorsqu’on souhaite donner libre cours à la création, les teintes denses deviennent un langage. Bien orchestrées, elles transforment une pièce en décor — sensible, habité, inoubliable.

    Orange brûlé

    Solaire et enveloppant, l’orange brûlé apporte à l’espace une chaleur douce et sophistiquée. Ni criard ni banal, il rappelle la terre cuite, les façades provençales et la lumière dorée des fins d’après-midi. Sur les murs, sa profondeur révèle les moulures et valorise les matières naturelles : lin, bois clair, céramique artisanale. Associé à des textiles beiges ou sable, à des coussins en velours rouille et à des vases patinés, il compose une palette chaleureuse et vibrante sans excès. Dans un salon lumineux, cette teinte crée un équilibre parfait entre tradition et modernité : un cocon méditerranéen où la couleur devient matière.

    Référence: Pantone Burnt Orange
    16-1448 TCX.

    Prune fumée

    Intense, presque nocturne, la prune fumée enveloppe l’espace d’une élégance théâtrale. Idéale pour une tête de lit, un salon aux hautes moulures ou un couloir graphique, elle magnifie cadres dorés et velours gris perle. Équilibrez avec de larges aplats de blanc cassé et des miroirs pour un glamour feutré qui respire.
    Le prune fumée révèle ses nuances sous des éclairages d’appoint (appliques, lampes de table).
    Associée à des bois sombres ou à un laiton patiné, elle évoque l’atmosphère d’un boudoir contemporain, à la fois enveloppant et affirmé. C’est une teinte qui invite au calme, au silence et à une forme subtile de sophistication.

    Référence: Pantone 5185 C

    Bleu nuit

    Mystérieux et enveloppant, le bleu nuit profond apporte une intensité rare à l’espace. Plus subtil qu’un noir, il joue sur les reflets et les ombres, créant une atmosphère feutrée et élégante. Sur les murs, sa profondeur souligne la texture des moulures et magnifie le bois chaud d’une tête de lit ou d’un parquet. Associé à des draps en coton lavé, des lampes en métal doré et quelques notes d’ivoire, il évoque un luxe discret, presque silencieux. Ce ton se révèle idéal pour une chambre ou un salon où l’on recherche calme, équilibre et caractère.
    Une lumière douce et diffuse — jamais trop blanche — exalte la richesse pigmentaire de ce bleu, pour un décor aussi intime que captivant.

    Référence: Pantone 596 C

    Marron chocolat

    Chaleureux, enveloppant et sophistiqué, le brun chocolat profond évoque à la fois la terre, le bois et la matière brute. Sur les murs, il crée une atmosphère apaisante, presque tactile, qui invite à la détente et à la contemplation. Ce ton révèle toute sa richesse au contact de matières naturelles : lin, laine, bois massif, travertin ou cuir patiné. Dans un salon, il se marie à merveille avec un grand tapis crème, des rideaux en lin naturel et quelques touches de bronze ou de doré vieilli. Pour éviter toute lourdeur, il suffit d’une lumière douce — appliques, lampe d’appoint, feu de cheminée — qui fasse vibrer les nuances chaudes de cette teinte. Ce brun dense, à la frontière du cacao et de la terre d’ombre, exprime une élégance rare : celle des intérieurs profonds, sereins et intemporels.

    Référence : Pantone 476 C

    Vert mousse grisé

    Sombre et raffiné, le vert forêt profond apporte aux intérieurs une élégance apaisante et contemporaine. Moins doré qu’un vert olive et plus dense qu’un vert sauge, il crée une atmosphère feutrée, propice au calme et à la détente. Sur les murs, il met en valeur les matières naturelles — lin lavé, bois clair, chanvre ou laiton vieilli — tout en conservant une présence discrète et équilibrée. Sous une lumière chaude, il révèle des nuances subtiles qui réchauffent la pièce sans l’assombrir. Cette teinte, à la fois naturelle et sophistiquée, s’impose comme un choix sûr pour un intérieur élégant et intemporel.
    Ce vert se fait aimer par sa capacité à se fondre dans tous les univers sans jamais passer inaperçu, à faire vibrer les matières sans les dominer. C’est un vert de confiance, subtil et rassurant, celui qui traverse les modes tout en restant d’une modernité absolue.

    Référence: Pantone 418 C

    La méthode Maison Olympia pour réussir les teintes sombres

    Composer la lumière. Multipliez les sources (appliques, lampadaires, lampes de table) plutôt qu’un plafonnier unique ; une lumière chaude adoucit les contrastes.

    Choisir la bonne finition. Un mat velouté absorbe les reflets et renforce la profondeur ; un satin discret convient aux zones de passage.

    Dosage et proportions. Envelopper toute la pièce crée un cocon immersif ; un soubassement ou une niche-cadre rythme sans rétrécir. Pensez au 60/30/10 : dominante neutre, couleur d’accent, ponctuations métalliques ou boisées.

    Dialoguer avec les matières. Les teintes denses révèlent leur sophistication au contact de textures vivantes : lin lavé, bois brossé, pierre claire, laiton patiné, céramiques artisanales.

    Tester avant de peindre. Appliquez de grands échantillons A3 sur différents murs et observez-les du matin au soir ; la lumière transforme chaque nuance.

    Assumées avec mesure et exigence, ces couleurs signent un intérieur. Ce n’est plus un simple décor : c’est un récit. Quand la teinte rencontre la juste lumière, les bons matériaux et des proportions maîtrisées, l’élégance cesse d’être une intention en devenant une évidence.

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